17 février 2007
Pléthore
Ce qui révélait la violence extérieure du sacrifice était la violence intérieure de l'être aperçue sous le jour de l'effusion du sang et du jaillissement des organes. Ce sang, ces organes pleins de vie, n'étaient pas ce qu'y voit l'anatomie : seule une expérience intérieure, non la science pourrait restituer le sentiment des Anciens. Nous pouvons présumer qu'alors apparaissait la pléthore des organes gonflés de sang, la pléthore impersonnelle de la vie. Georges Bataille, l'Erotisme
Publicité
Publicité
Commentaires
A