Lumidolls
Lumidolls est le nom du club en question. Son nom résume tout : lumi (prostituée en argot) et doll (poupée en anglais). Avant d’y aller, il faut prendre rendez-vous avec l’un des quatre modèles disponibles : Niky la Blanche, Leyza l’Africaine, Lily l’Asiatique standard, et Aki l’Asiatique aux cheveux verts qui imite un personnage de manga.
En réalité, ce ne sont pas des poupées gonflables, mais des répliques humanoïdes hyperréalistes en silicone. Des sortes de mannequins articulés, aux expressions très exubérantes. Chaque unité coûte environ 5 000 euros. . [...]
“Pour les orifices, je me sers d’un pistolet à pression”
Les sex dolls sont, comme leur nom l’indique, des poupées conçues pour pratiquer le coït. Elles sont faites en silicone chirurgical. Ce sont des pièces uniques, on ne les fabrique pas en série. Elles mesurent entre 1,60 m et 1,70 m, pèsent 40 kilos et elles ont des traits hyperréalistes. Leur squelette contient des tiges métalliques souples qui les rendent articulées et permettent de leur faire prendre des poses vraiment curieuses. Chaque poupée offre trois orifices de 17 centimètres de profondeur : bouche, vagin et anus. Quatre dans le cas de Lily, puisqu’elle a un sein troué. Ce sont des jouets qui ont beaucoup de succès au Japon, La Mecque de ces spécialités sexuelles, même si en l’occurrence les poupées barcelonaises sont fabriquées aux États-Unis. Les cheveux sont naturels, mais chez Lumidolls on a déjà prévu d’acheter des perruques pour les customiser.
“Et c’est hygiénique ?” m’enquiers-je. Gina, qui est aussi la personne chargée du lavage (sans blague…), me répond que les poupées sont lavées avant et après chaque utilisation “avec un savon employé dans les hôpitaux. Pour les orifices, je me sers d’un de ces pistolets à pression, de type Kärcher”. Ainsi, la maison peut garantir qu’elles sont entièrement désinfectées. Toutefois, on recommande toujours au client d’utiliser un préservatif. Gina le fournit avec le lubrifiant.
David López Frías, On a testé pour vous : une heure avec une ‘sex doll’ à Barcelone
El dueño del piso donde se instaló el primer burdel de muñecas de España rescinde el contrato
El propietario del piso donde se instaló el primer prostíbulo de muñecas de silicona de España ha rescindido el contrato de alquiler a los empresarios que abrieron en Barcelona el novedoso negocio, después de descubrir, en fotos publicadas en internet, que el lugar donde se ubicaba el burdel era el inmueble que acababa de alquilar.
Lumidoll ofrecía en su web los servicios de cuatro Sex Doll al precio de 120 euros la hora, aunque existía una oferta de lanzamiento por 80. La web no proporcionaba la dirección del prostíbulo y la telefonista del negocio solo la daba si se contrataba algún servicio. La representante del burdel aseguraba que así preservaba “la identidad de losclientes”. EL PAÍS (Cataluña )
- ¿Cuánto para la bonita pequeña rubia con los labios entreabiertos?
- ¿Con o sin parche? ¡ Es de naturaleza muy explosiva!
- ¿Y la morena regordeta, allá, a los pechos rollizos?
¿Son de origen o recauchutados?
- ¡ Sino, puedo hacerle una oferta para este modelo!
- ¿Es un fin de serie, es a precio de saldo?
- ¡ No, es un prototipo en carne de cactus en flor!
Es ecológico pero esto puede pinchar un poco.
Well, You boum-boum ?